Word Alive Now Blog
En 1959, wycliffe Bible Translators a envoyé deux jeunes linguistes, David et Mitzi Shinen, à Gambell, en Alaska. Là, ils ont passé quelques années à apprendre la langue Yupik, puis ont commencé à traduire le Nouveau Testament. Une traduction minutieuse…
« Nous croyons que Dieu élève une nouvelle vague de missionnaires d’Amérique latine pour la tâche de traduction de la Bible en Asie du Sud-Est.
Lorsque Matilde a décidé d’assister à un cours d’alphabétisation basé sur des lectures bibliques à Cusco Quechua, sa langue maternelle, son mari s’est moqué d’elle.
Goma Mabele sait ce qu’est la persévérance, après avoir servi trois décennies dans le projet de traduction de la Bible Mbandja en République démocratique du Congo (RDC).
Nous espérions qu’un jour, nous aurions un moyen d’apprendre la Parole de Dieu d’une manière que nous comprenons le mieux.
Un atelier organisé récemment au Brésil à l’intention des consultants en traduction en formation a attiré 50 participants de neuf pays.
« Même si j’avais entendu la Parole de Dieu auparavant, dit Emmanuel, elle n’avait jamais parlé à mon cœur […] comme il l’a fait quand j’ai commencé à entendre qu’on me le lisait dans ma langue maternelle.
L’un des membres de la tribu qui a aidé à traduire les Écritures pour le peuple Kalinga dans le nord des Philippines s’appelait Biano.
Alors qu’un linguiste de Wycliffe se préparait à retourner en Australie pendant un certain temps, il a exprimé sa curiosité quant à la raison pour laquelle Biano n’a jamais remis en question les Écritures.
« Ta Parole ai-je caché dans mon cœur que je ne pourrais pas pécher contre vous »
Plusieurs années après que le peuple Wapishana de Guyane, en Amérique du Sud, a reçu son Nouveau Testament, la traduction continue de toucher des vies.